Un homme retourne dans le village où il a passé son enfance pour un enterrement. Dépassé par les émotions, la fatigue, il part se perdre dans un chemin. Il arrive devant la maison des Hempstock, qu’il se souvient avoir connu petit garçon. Mais pourquoi, déjà ? C’est en s’asseyant à côté de l’étang que la jeune Lettie lui soutenait à l’époque être un océan qu’il se souvient de l’aventure qu’il a vécu alors qu’il avait sept ans. C’est ainsi que Neil Gaiman, l’auteur de The Ocean at the end of the lane, nous embarque dans l’histoire extraordinaire qu’a vécu un petit garçon. Avec un style simple mais puissant, nous découvrons les méandres des souvenirs, la complexité de la quête d’identité et du passage à l’adulte, mais surtout la force de l’imagination d’un enfant mais aussi d’un adulte qui nous emmène dans le fantastique en un clin d’œil. Un roman pas très long, à plusieurs niveaux de lecture qui vous embarque le coeur et vous fait fantasmer sur votre propre enfance, où Gaiman prouve encore une fois qu’il est un auteur en constante recherche et bien au dessus des autres. A dévorer au coin d’une cheminée cet automne.
Sachez de plus que les droits ont déjà été acheté par Tom Hanks pour qu’un long-métrage soit réalisé, normalement par l’anglais Joe Wright (Atonnement, Orgueil et Préjugés) !
Nooooooooooooooooooon ! Je l’ai pas encore luuuuuuuuuuuuuuuuuu! aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah